Le co-porte-parole de Québec solidaire, Gabriel Nadeau-Dubois, est un grand partisan et un grand consommateur de sports.
Le politicien a révélé que chaque voyage qu'il fait doit avoir un volet sportif. C'est notamment ce qui l'a mené à aller voir une partie de foot en Argentine et en Europe ainsi que des matchs de baseball aux États-Unis.
Grand amateur de hockey, il se réjouit du succès et de l'engouement entourant la Ligue professionnelle de hockey féminin (LPHF).
«C'est inspirant et j'ai envie de dire: "Il était temps!". Parce que, quand même, le hockey, c'est le sport national au Québec. Et ça ne concerne pas juste les gars. Il y a plein de jeunes filles et de jeunes femmes au Québec qui pratiquent ce sport-là et qui aiment ce sport-là. Et là, on le voit, il y avait un marché, il y avait un intérêt des amateurs pour une offre de hockey féminin qui soit professionnelle, qui soit intéressante, qui soit régulière. Et là, enfin, les astres se sont alignés. Et ça fonctionne et c'est tant mieux.»
Partisan de la Sainte-Flanelle, issu de la génération qui n'a jamais connu les années glorieuses et qui se souvient très vaguement de la conquête de 1993, GND voit enfin l'avenir avec optimisme.
«On a, pour la première fois, ce qui ressemble à des attaquants d'élite qui sont au début de leur carrière. Le meilleur est à venir dans le cas de Caufield, Suzuki et de Slafkovsky, dont plusieurs professaient qu'il deviendrait un "bust". Mais finalement, on a vu, disons les deux tiers de la dernière saison, vraiment, un talent émerger sous nos yeux. Et pour la génération d'amateurs qui est la mienne, des talents offensifs comme ça, éclore sous nos yeux, c'est la première fois. Je suis enthousiaste!»