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«On s'imagine mal la pression qu'un athlète subit lorsqu'il prend la parole»

«On s'imagine mal la pression qu'un athlète subit lorsqu'il prend la parole»
Jean-Luc Brassard / Cogeco Média

Réagissant à la prise de position des athlètes français contre la montée de l'extrême droite, Jean-Luc Brassard partage son expérience personnelle en tant qu'athlète critiqué pour ses propos lors des Jeux de Nagano en 1998, soulignant les défis des athlètes prenant position sur des sujets qui dépassent le sport.

Alors qu'il avait été nommé porte-drapeau de l'équipe canadienne en 1998, le skieur acrobatique avait critiqué la manière de faire de l'équipe canadienne dans le cadre de la cérémonie d'ouverture des Jeux de Nagano.

Cette sortie avait valu à Jean-Luc Brassard de nombreuses critiques.

«Je n'avais pas beaucoup d'appuis de la part de mon équipe, alors seul, peut-être de l'expérience. De l'extérieur, j'avais l'air d'avoir un certain cran, mais à l'intérieur, c'était difficile. Et je pense qu'aujourd'hui, je peux le dire, ça a représenté plus ou moins la fin de ma carrière. Après ça, ç'a été une pente descendante parce que chaque sortie était presque une sortie politisée.»

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