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Vente de tours locatives à Sherbrooke

Une transaction majeure de 65 millions $

Une transaction majeure de 65 millions $
La transaction concerne des Terrasses du Carrefour de l'Estrie sur la rue du Manoir. / Fournie

Une transaction immobilière majeure vient d’être conclue à Sherbrooke.

Des tours locatives haut de gamme ont été vendues pour un total de 65 millions $.

Il s’agit des Terrasses du Carrefour de l'Estrie sur la rue du Manoir et le Bonaventure sur la rue Prospect. Les acheteurs de ces immeubles sont des investisseurs de Montréal, indique le courtier immobilier Jean-François Bérubé.

Selon lui, on ne parle pas d’une transaction record à Sherbrooke, mais certainement l’une des plus importantes de l’histoire de la région.

«On est sorti d'une grosse période de stress la semaine dernière, mais aujourd'hui, tout est bien qui finit bien!», lance M. Bérubé, qu’on connaît pour l’animation de l’émission Les Dessous de l’immobilier sur les ondes du 107,7 Estrie.

«C'est une vente quand même importante pour la région de Sherbrooke. Une vente qui totalise une valeur totale de 65 millions $. Donc c'est un peu inespéré. Mais en même temps, on avait bon espoir depuis un an et demi de pouvoir la conclure.»

Description de l'image non disponible

Aboutir à une telle transaction prend du temps, confirme M. Bérubé.

«Les demandes de financement, ce sont des processus qui sont très longs. Il y a des visites des lieux qui doivent se faire par les assurances, par les prêteurs hypothécaires. Dans le cas présent, c'est des institutions financières virtuelles qui ont financé», dit-il.

«C'est long, puis c'est complexe. Évidemment, il y a des ascenseurs, des gicleurs. Beaucoup de drones utilisés pour faire l'inspection des fenêtres parce qu'on ne met pas des échafauds. Donc c'est des grosses inspections qui prennent quand même plusieurs journées. C'est nécessaire dans le cadre d'une transaction comme celle-là.»

Une vente comme celle-là demande d’investir beaucoup de temps, ajoute Jean-François Bérubé. La commission sera importante, convient-il, mais il y a toujours un risque pour les courtiers payés qu’à la commission que la transaction tombe à l’eau.

Il aurait aimé voir des investisseurs locaux acheter ces immeubles.

«On n’a pas le droit de facturer à l’heure», explique le courtier.

«Ce qui nous fait carburer c'est que les vendeurs voulaient une firme de la région pour faire la vente. »

Écoutez l’entrevue accordée à Steve Roy et Valérie St-Jean.

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