Le sanctuaire pour animaux de ferme de l'Estrie, dirigé par Catherine Gagnon, fait face à des difficultés financières, ayant reçu une amende de 5 000 $ pour ne pas avoir étiqueté ses animaux conformément à la loi.
Le sanctuaire, qui dépend de dons privés et accueille 62 animaux, explore des alternatives plus humaines comme le micro-puçage.
Parallèlement, le Refuge Lobadanaki, géré par Anne-Marie Demers, nécessite 100 000 $ annuellement pour opérer et n'a reçu aucune réponse à sa demande de financement récurrent auprès du gouvernement, malgré un dossier détaillé soumis il y a deux ans.
Le Refuge Lobananaki se spécialise dans la réhabilitation des animaux sauvages du Québec.
Écoutez l'entrevue accordée par le journaliste Jean-François Desaulniers à l'animateur Steve Roy.