À l'occasion de la Journée mondiale des Solitudes, soulignée chaque année le 23 janvier, Les Petits Frères invitent le grand public à repenser la solitude au grand âge, une réalité trop souvent vécue en silence.
« Ce n'est pas juste une question de tristesse ou d'ennui. La solitude détruit des vies, en silence. Elle réduit l'espérance de vie, augmente les risques de dépression et de maladies chroniques, et prive des milliers de personnes aînées isolées de liens humains essentiels »
D'ici 2031, 25 % de la population québécoise aura 65 ans ou plus. Cette réalité démographique renforce l'urgence d'agir dès aujourd'hui pour bâtir des communautés solidaires où chacun peut vieillir dans la dignité, entouré de personnes bienveillantes.
Mais la solitude ne fait pas de discrimination : elle traverse toutes les générations et toutes les sphères de la société. Selon Statistique Canada, 1 personne sur 10 au pays se sent toujours ou souvent seule. Les personnes aînées, cependant, sont particulièrement vulnérables en raison de la diminution progressive des liens sociaux et des activités quotidiennes.