Rares sont les autrices qui abordent la diversité corporelle et la grossophobie dans une fiction et non un essai. Dans ce premier roman, Nadia Tranchemontagne, militante suivie sur les réseaux sociaux, a osé.
À travers son personnage, elle raconte le parcours d’une jeune femme en recherche d’acceptation. Des autres, mais surtout d’elle-même.
Elle a publié son premier livre intitulé La Grosse qui rêvait d'amour, dans lequel les thèmes de l'acceptation de soi et des défis rencontrés par les personnes en surpoids dans la société québécoise sont abordés.
Le livre explore les jugements sociaux et les stéréotypes auxquels sont confrontées ces personnes, soulignant l'importance du respect et du droit à l'existence sans discrimination.
Nadia Tranchemontagne utilise la fiction pour sensibiliser et éduquer sur ces enjeux, en s'appuyant sur des récits collectifs et personnels.
Écoutez l’entrevue accordée à Jean-Sébastien Hammal.

Source: Fournie