Des mesures ciblées et spécifiques doivent être prises contre la montée de l'itinérance, notamment chez les femmes.
« Les femmes vivent l'itinérance d'une manière différente que les hommes, elles la vivent de façon plus cachée. Elles sont donc invisibilisées dans les statistiques et, par le fait même, oubliées dans les solutions », souligne la députée péquiste Catherine Gentilcore, porte-parole en matière d'itinérance.
Elle souligne l'augmentation de 44% de l'itinérance au Québec entre 2018 et 2022. Elle critique le manque d'action du premier ministre François Legault et du ministre des Services sociaux Lionel Carman.
La députée de Terrebonne met en lumière la situation spécifique de l'itinérance féminine, souvent cachée et liée à la violence. Elle propose des solutions telles que des ressources d'hébergement dédiées aux femmes et une meilleure reconnaissance de cette problématique au sein des politiques d'itinérance.