Que se passe-t-il lorsqu'une entente de principe est rejetée?
L'ex-président de la CSN, Jacques Létourneau, se penche sur la question, samedi, au micro d'Élisabeth Crête, alors qu'à l'heure actuelle, l'Alliance des professeures et professeurs de Montréal (APPM) a accepté l'entente de principe conclue avec le gouvernement Legault, tandis que le Syndicat de l'enseignement de la région de Laval (SERL) a rejeté l'offre à 68 %.
Dans le cas du rejet d'une entente de principe, «on retourne à la table», affirme Jacques Létourneau.
«On reprend la négociation parce que ça fait quand même partie du processus. Les représentants ont des mandats, et puis ultimement, les travailleurs ont le droit de dire non, ça ne fait pas mon affaire.»
Il affirme toutefois que les parties prenantes sont «condamnées à s'entendre.» Il y a toujours une fin à un conflit de travail, il y a toujours un règlement.»
Écoutez l'intégralité de ses explications...