Pierre-Yves McSween discute de l'importance de la déontologie et de la confidentialité dans les professions réglementées, en réaction à la publication d'une lettre par le médecin de Karl Tremblay après son décès.
Il compare les obligations de confidentialité des médecins avec celles des psychologues et des comptables professionnels agréés, soulignant que les règles déontologiques sont claires et doivent être respectées pour protéger la confidentialité des clients... même après leur mort.
Patrick Lagacé questionne la possibilité d'erreurs d'appréciation par les syndics, mais Pierre-Yves insiste sur la rigueur des codes de déontologie pour protéger le public et les patients.
«Donc, tu ne verras jamais un psychologue sortir après le décès de quelqu'un, puis écrire une biographie en disant: la personne est décédée, je vais demander à la famille, puis je vais vous dire qu'il y avait des problèmes en maudit.»
«Donc, si, dans le cas de Karl Tremblay, le Collège des médecins réprimande un peu le médecin, pas avec un bazooka, mais avec une petite tape sur les doigts, c'est peut être justement pour bien tracer la ligne.»
On écoute Pierre-Yves McSween...