Cet incident vient ternir la réputation des championnes olympiques en titre, rapporte Philippe Bonneville.
Écoutez Philippe Bonneville, envoyé spécial à Paris pour Cogeco média, et Elias Laradi, journaliste indépendant qui couvre le soccer féminin, brosser le portrait de la situation, mercredi, à l'émission Le midi.
«Disons que ça commence mal pour l'équipe canadienne de soccer féminin. C'est très gênant, c'est très embarrassant pour la sélection canadienne et ça pourrait avoir des répercussions parce qu'on sait que les Néo-Zélandaises ont demandé une enquête du Comité international olympique. Il y a une plainte officielle qui a été déposée. Donc, même si le Canada a réagi en expulsant certaines personnes, ça ne veut pas nécessairement dire que c'est terminé, cette histoire.»
En lien avec cette affaire, deux employés de Canada Soccer furent rapatriés au pays, soit l'entraineuse adjointe Jasmine Mendez et l'analyste Joseph Lombardi, qui dirigeait le drone-espion.
Ce dernier s'expose à une peine de prison de huit mois et à une amende de 45 000 euros.
Les joueuses canadiennes affronteront l'équipe néo-zélandaise jeudi prochain...