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«Enquête» de la CSN sur la manif de Magog

«J’ai trouvé l’information en cinq minutes avec mon cellulaire»

«J’ai trouvé l’information en cinq minutes avec mon cellulaire»
Des dizaines d'autocollants de la CSN tapissaient le devant des bureaux de la firme Roy, Lévesque & Associés de Magog. / Fournie

«Pourquoi encore enquêter deux jours plus tard? J’avais trouvé l’information en cinq minutes sur Google avec mon cellulaire.»

Louis Roy, de la firme Roy, Lévesque & Associés de Magog, a tenu à réagir aux propos tenus par Denis Beaudin de la CSN concernant la manifestation des syndiqués du Zoo de Granby devant cibler une personne siégeant au conseil d’administration du parc zoologique actuellement en lock-out.

Tout indique que la manifestation de la CSN s’était trompée d’adresse, la personne en question demeurant à Shefford, prés de Waterloo.

Ce dernier a indiqué vendredi matin sur les ondes du 107,7 Estrie que le syndicat poursuivait son enquête afin de savoir s’il y a eu erreur sur la personne. Dans quel cas, on pourrait présenter des excuses.

Il a aussi voulu minimiser l’impact de la manifestation tenue au centre-ville de Magog en disant qu’une dizaine d’autocollants de la CSN avaient été placés sur la porte d’entrée des bureaux de la firme Roy, Lévesque & Associés.

À cela, M. Roy répond qu’une trentaine de ces autocollants ont recouvert des fenêtres et les portes d’entrée de son bureau, en plus des chapiteaux qui avaient été installés et d’un camion stationné devant ses locaux. Toute cette agitation a nui à la circulation devant et vers ses bureaux. 

Louis Roy a pu rapidement clarifier qu’aucun de ses employés ne siège au CA du Zoo et a exprimé ses préoccupations concernant l'intimidation et les entraves causées par la manifestation. 

Description de l'image non disponible

Malgré l'erreur probable, la CSN a indiqué qu'elle continuerait ses recherches.

«J’ai pu rentrer dans mon bureau sans problème. Mais il y a des collants qui étaient sur le joint de la porte. Après ça, ils ont mis des flyers dans la porte en haut. C'est plus difficile pour les gens d'ouvrir les portes», dit-il.

«Ça a été enlevé, mais devant les membres, on disait non, non, on ne va pas payer pour ça. Puis quand les membres ont été assis dans l'autobus, il y a eu une ouverture. J'ai pris des dispositions. Ç’a été enlevé la journée même, mais à 5 h. Les gens disaient aux policiers que ce n'était pas eux qui avaient mis les collants et qu'on pouvait rentrer, aller et venir sans problème. Effectivement, on peut aller et venir, mais c'est plus difficile. Dans l'intimidation, souvent c'est des petites choses minces comme ça qui font en sorte qu'il n'y a pas vraiment de coupable. Donc, on laisse ça aller, puis c'est beau.»

Enfin, M. Roy a souligné la nécessité d’une plus grande rigueur de la part des représentants syndicaux.

Écoutez l’entrevue accordée à Steve Roy et Valérie St-Jean.

Fournie

Source: Fournie

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