Dans son commentaire, Guillaume Brousseau revient sur le début des Jeux de Paris, en mettant l'accent sur la performance de Céline Dion qui a chanté "L'hymne à l'amour" malgré ses problèmes de santé neurologiques.
Ils abordent également la controverse autour d'une scène avec des drag queens, perçue par certains comme une moquerie de la dernière Cène, et discutent de la liberté artistique versus le consensus lors d'événements universels comme les Olympiques.
«Ç’a été interprété par certains comme étant la dernière Cène, le dernier repas du Christ, avec ses disciples. D'autres sont venus nous dire que finalement c'était plutôt le festin des dieux gréco-romains», dit-il.
«Donc là, il y a comme un petit débat en histoire de l'art. À partir du moment où ça a été interprété par beaucoup de chrétiens comme étant une moquerie d'une scène importante dans l'histoire du christianisme, ça pose la question de savoir si c'était approprié.»
Écoutez le commentaire de Guillaume Rousseau.