Le phénomène des annulations de dernière minute et des non-présentations des clients touche également les cabanes à sucre offrant des repas.
Cela affecte significativement les affaires, surtout pendant la courte saison des sucres, s’insurge Vanessa Leblanc, copropriétaire de la cabane à sucre Chez Arthur.
Elle mentionne l'impact des réservations non honorées sur la planification et les coûts, et envisage la possibilité de demander des dépôts pour sécuriser les réservations.
«J’ai eu une réservation pour cinq personnes dans la semaine de relâche. Une petite famille de cinq qui ne s'est jamais pointée. Je n'ai jamais eu de nouvelles. Je ne peux pas dire que ça arrive toutes les semaines. C'est arrivé une fois. Ce qui arrive aussi, c'est que les gens sont dix, mais trois personnes ne sont pas là. C'est des places laissées libres.»
Le paiement actuel se fait en argent comptant et l'introduction de dépôts nécessiterait l'acceptation de cartes de crédit, ce qui entraînerait des frais supplémentaires pour l'entreprise, dit-elle.
Écoutez l’entrevue accordée à l’animateur Jean-Sébastien Hammal.