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Magog

Début des travaux de parc de planche à roulettes

Début des travaux de parc de planche à roulettes
Nathalie Pelletier / Archives

Les travaux d’aménagement du nouveau parc de planche à roulettes, un dossier de longue haleine à Magog, débuteront sous peu sur le site de la pointe Merry.

Les opérations se dérouleront en deux phases, soit la préparation du terrain au cours de l’automne 2024 et la construction des infrastructures au printemps et à l’été 2025. L’ouverture du site est prévue à l’automne 2025, indique la Ville de Magog.

Les travaux de préparation du terrain prévoient tout d’abord la décontamination du site, en raison des vestiges du passé commercial de la pointe Merry, a expliqué la mairesse Nathalie Pelletier, invitée sur les ondes du 107,7 Estrie. 

Pour décontaminer complètement la zone, l’abattage de 17 arbres sera nécessaire. Certains des arbres ciblés sont touchés par l’agrile du frêne ou ont atteint la fin de leur durée de vie, précise-t-on. 

Leur abattage aurait été nécessaire éventuellement. Quelque 21 arbres et 114 arbustes seront plantés directement sur le site de la pointe Merry à la suite des travaux. De plus, environ 30 arbres supplémentaires seront plantés sur le territoire de la Ville au cours des prochains mois.

Selon la mairesse, il s’agit d’un investissement de plus de 3 millions $, dont l'obtention d'une subvention de 1,6 million $ du gouvernement du Québec et une contribution de 150 000 $ de la MRC de Memphrémagog.

L'investissement est justifié par le manque d'infrastructures pour les jeunes. Le parc comprendra des zones pour débutants et expérimentés, BMX, trottinettes, une pump track et une place publique.

Situé à cet endroit, le parc ne sera pas isolé dans la ville de Magog, ce qui est avantageux pour les jeunes, ajoute Mme Pelletier.

Archives

Source: Archives

Mur coupe-son

Par ailleurs, concernant le mur acoustique de la fonderie Magotteaux, elle a mentionné que malgré les plaintes des résidents, le mur sera construit selon les recommandations des experts et du ministère de l'Environnement pour atténuer le bruit causé par l’entreprise.

Lundi, une voisine, Manon Tanguay se disait mécontente du projet de construction de cet immense mur coupe-son de 16 pieds de haut par la fonderie.

Mme Pelletier et Jacques Laurendeau, conseiller municipal du secteur, ont été la rencontrer.

La majorité des gens autour sont heureux de ce mur. 

La compagnie est en droit de le construire sur son terrain, dit-elle.

«On est limité malheureusement. C'est ce que je suis allée expliquer à Mme Tanguay avec M. Laurendeau. Mais c'est certain que nos réponses n'étaient pas satisfaisantes pour elle.»

Écoutez l’entrevue accordée à Jean-Sébastien Hammal.

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