Le Centre de services scolaires de la région de Sherbrooke (CSSRS) a pu adopter un budget avec un léger surplus de 10 millions $.
Selon son directeur général, Sylvain Racette, on a pu arriver à ce résultat après des ajustements comptables de 600 000 $, soit environ 0.2% du budget total de 336 millions.
M. Racette a expliqué que ce surplus est dû à des prévisions sur les augmentations salariales et à une hausse du nombre d'élèves dans certains programmes, malgré une pénurie de personnel.
«Ce n'est pas un surplus qu’on peut l'utiliser, pour embaucher. Ce qu'il faut savoir, c'est que ce n'est pas un vrai 10 millions. Il y a là-dedans et des opérations comptables. Il y a une augmentation des employés ou des négociations l'année dernière. Là, on prend une prévision sur la rétro des augmentations de salaire. Mais ça, on les prend sur une année puisqu'on reçoit le financement l'année suivante. On a la dépense sur une année et puis le revenu l'année suivante, ce qui va occasionner des surplus.»
Francisation
Il a également mentionné une demande de financement pour la francisation suite à un bris de service, malgré la présence de services similaires offerts par le Cégep de Sherbrooke.
Écoutez l’entrevue accordée aux animateurs Steve Roy et Valérie St-Jean.