Aller au contenu
La SQ déployée à la frontière

Un plan du PQ… emprunté par la CAQ

Un plan du PQ… emprunté par la CAQ
Pascal Paradis / Archives

Mobiliser la Sûreté du Québec (SQ) à la frontière est une mesure initialement proposée par le Parti québécois. Elle avait été rejetée par le gouvernement de la CAQ, se souvient le péquiste Pascal Paradis.

Mardi, le ministre de la Sécurité publique François Bonnardel dévoilait le plan « Pélican ». Près de 300 policiers de la SQ pourront être déployés à la frontière dans un délai de 48 heures en cas de besoin.

Le député de Jean-Talon, fait remarquer que le gouvernement de François Legault met le plan péquiste en œuvre deux ans plus tard. 

Le porte-parole du PQ en matière de sécurité publique souligne ainsi le manque de vision du gouvernement actuel et l'importance de la gestion des frontières et de la politique commerciale, en particulier avec l'entrée en fonction de Donald Trump. 

«À l'époque, le gouvernement de la CAQ n'avait pas été le seul à réagir comme ça, dit-il. Les autres partis à l'Assemblée nationale avaient réagi exactement de la même manière, très provincialiste.» 

Paradis appelle à l'unité et à la préparation du Québec face aux défis, notamment en formant une équipe Québec pour défendre les intérêts commerciaux de la province.


Écoutez l’entrevue accordée à l’animateur Jean-Sébastien Hammal.

À écouter aussi:

Frontière canado-américaine: les enjeux pour le Québec
  

Abonnez-vous à l’infolettre du 107.7 Estrie!
En m’abonnant, j’accepte de recevoir des communications par courriel de Cogeco Média et de ses sociétés affiliées, y compris des nouvelles, des mises à jour, des activités et des concours. Vous pouvez vous désabonner en tout temps en utilisant le lien au bas de nos courriels ou en nous contactant par le biais de notre Politique en matière de protection des renseignements personnels. Veuillez noter, cependant, que nous pouvons continuer à vous envoyer des communications liées au service et d’autres communications non commerciales. Ce site est protégé par reCAPTCHA et la politique de confidentialité de Google et les les conditions d'utilisation s'appliquent.

Plus avec Jean-Sébastien Hammal

Le prochain chef doit s’exprimer dans les deux langues - Jean-Yves Duclos
M. Beauchemin aurait dû tourner sa langue 7 fois avant de parler…
«Ça peut entraîner des acquittements dans certains dossiers»

Vous aimerez aussi

L’écoute en direct débutera à la suite de ce message publicitaire.
L'Estrie aujourd'hui
En direct
En ondes jusqu’à 15:00